jeudi 1 août 2013

Ain-Taya arrêt sur images

LE CHALET NORMAND au coucher du soleil.
A la gauche de celui-ci mais cachée, l’ex propriété des Artand. Cette végétation luxuriante aurait inspiré sans doute Rudyard Kipling à s’exiler ici.

L’EX EGLISE DE AÏN-TAYA – aujourd’hui salle de boxe.
Tu t’appelles Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon église. Quant au presbytère de Mr le curé inutile d’en parler.

L’HISTORIQUE VILLA ZEVACO.

Aujourd’hui elle abrite un centre de rééducation pour enfants inadaptés. Au bas de l’emblème national, on voit apparaître sur l’enseigne les caractères de « Zarzouria » ce qui signifie « Tout ceux qui s’apparentent au plumage des étourneaux (Zarzours). Non loin de là, les ex terres de Mercadal et de Pierrot Villa surnommées en ce temps là en arabe « Haouch Belaredj » ou « Enclos des cigognes ». C’est dire que les cigognes sont passées par là. Elles sont passées par là.


LA CHARMANTE VILLA ZEVACO ou l’oubliée de venise.
Salut ! Bois couronné de restes de verdure (titré d’une récitation)


LE SQUARE DE AÏN-TAYA.
Cette fois, je ne parle pas au risque de provoquer un cataclysme


LE SQUARE DE AÏN-TAYA.
Toujours aussi beau.



LA VILLA SERGENT – à A la droite de celle-ci l’ex villa des Anglade où Jules Roy écrivit en 1963 quelques fragments de son roman « les cavaliers du soleil ». Elle fut depuis bien longtemps la propriété de ………….

LE CHALET NORMAND - Vue sur le côté latéral- 
On voit apparaître le portail des Benéjan. On aurait dit ces beaux chalets suisses qui vous interpellent pour fredonner ensemble la chanson « il y’a le ciel, le soleil, la mer »


LA VILLA RICCI

Ces palmiers font ombrage à l’ex villa Ricci.
Chaque palme, chaque feuille transportent avec elles un nom, une mémoire, une histoire. A la gauche de cette immense propriété, l’ex villa des Dupepet - aujourd’hui pouponnière -. A la droite cette fois, l’ex villa des Benéjeam.
Mr Elian Gachet, dites à Mme Ricci – hélàs décédée – que les végétaux qu’elle a plantés avant son départ en 64 ont germé haut et fort et qu’elles ont donné des petits qui aimeraient bien la revoir. Elle y insistait.


LE CHALET NORMAND.
Cette fois, c’est l’illustre auteur des « contes barbares » Leconte De Lisle qui aurait aimé en faire de ce lieu son école parnassienne. Lui qui aimait tant le confort des vérandas.

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